Bilan de la formation à Monastir

Photo traditionnelle prise à la fin de chacune des formations avec les participants.
Avec quelques jours de recul, je peux confirmer que mon séjour en Tunisie, et tout particulièrement à Monastir, aura été des plus enrichissant. Je ne peux pas dire pour les participants, quoique les messages que je reçois depuis quelques jours sur Facebook soient très positifs, mais en ce qui me concerne, c'est le cas.


D'abord par le défi que ça représentait. J'enseigne la publicité depuis bientôt 30 ans, mais c'est la première fois que je donnais une formation sur le marketing pharmaceutique. J'en ai fait, il y a quelques années, mais je ne l'ai jamais enseigné. J'ai donc dû me préparer davantage et, finalement, j'ai beaucoup appris également.


Les conditions de travail, facilitées par l'accueil de Karim Aouam, étaient excellentes. L'auditorium, l'équipement pour présenter, et surtout la qualité des gens. J'ai juste trouvé dommage que plusieurs participants ne se soient pas rendus. Il y avait une trentaine d'inscrits, mais une vingtaine seulement sont venus. Naturellement, la majorité de ces gens ont des professions et il n'est pas toujours facile de se libérer quatre jours entiers. Il y avait des médecins, des pharmaciens, des délégués commerciaux spécialisés en pharmacie, ce qui a d'ailleurs entraîné quelques débats lors des présentations des travaux à la fin. Car si moi je connais bien le marketing, disons que certains participants pouvaient parfois s'enflammer sur certaines affirmations proposées par d'autres membres des équipes concurrentes. Finalement, il y a émulation... et concurrence!

À part les quatre tremblements de terre et une situation politique quand même un peu tendue, surtout à Tunis, disons que ce fut une très belle expérience de vie. Une autre. Depuis 2005, je me suis rendu déjà plus de 15 fois pour donner des formations à l'étranger, ce qui me permet de rencontrer des gens fort intéressants. Arriver dans un pays étranger comme un spécialiste en communication plutôt qu'un touriste, ça fait vraiment une différence. Et je l'apprécie chaque fois. Si la tendance se maintient, je serai appelé de plus en plus souvent dans de telles situations.


Karim et son épouse Randa, au restaurant Le Pirate.
À bientôt j'espère!
Pour une première présence en Tunisie, je suis vraiment enchanté. J'y retournerai volontiers, si l'occasion revient. Et ça pourrait être plus vite qu'on pense, dès 2014. 
À suivre...

Aucun commentaire:

Publier un commentaire